Visite de courtoisie? [Evan]

Je le regardais sans cesse, il ne me parlait pas, du moins pendant un bon moment. Le personnel de l'hôpital nous laissa entre deux, non il me laissait mourir, c'était sur sur ce coup la je n'avais pas été sympathique... Je m'avançais un peu vers lui quand même, ne restant pas en retrait. J'entendis sa phrase par la suite mais il ne me regardait pas pour autant...

"Tu peux pas comprendre Evan... Je culpabilise suffisamment et la tu me remmet un coup de poignard en plein coeur!"

Je le regardais sérieusement, avec mes yeux fatiguée par manque de sommeil, il avait fait deux arrêts et sa m'avait calmée.

"Tu crois que j'ai fais sa par pitié que je t'ai récupéré dans l'eau?! No j'ai fait sa par amitié mais on dirait que ut le comprends pas! Tu étais sans doute trop occupé a ,faire tes arrêts cardiaques exprès pour que je culpabilise encore plus?! Bah tu as gagné Bravo!"

Oui une autre dispute était arrivé, mais on dirait qu'il ne comprenait pas que j'avais dit ses mots sous l'effet de la colère et d la peur, pour lui je les avaient dit, point final.

Oui j'évitais toujours le sujet famille... Mais maintenant je savais que j'aurais une famille, ma famille... Pour moi c'était pas une famille dans le passé, c'était que quelqu'un qui m'élevait ne voulant rien savoir de mes problèmes, ne me consolant même pas. Quand il m'annonca le décès de son père, je resta silencieuse, c'était sur, je n'avais jamais chercher a comprendre...

"je suis désolée Evan..." dis-je en baissant la tête avant de reprendre. "Mais moi je sais qui tu es Evan, tu es mon ami, presque ma famille même, toujours la quand j'avais besoin de quelqu'un quand sa allait pas... Toujours près de nous, toujours a notre écoute. T'es la personne la plus généreuse et incroyable que j'ai jamais connu... alors e dit pas que ton existence n'a aucun sens, car c'est faux..."

Je me rapprocha de lui m'asseyant sur le bord de son lit, prenant ma main dans la sienne, le regardant malgré la continuité de larmes qui coulaient sur mes joues... Serrant sa main quelques peu

"Moi je ne partirais pas Evan, ou tu voudrais que j'aille de toute façon?"

Je rigola légèrement, puis je repris mon sérieux, pour continuer a parler, il m'en avait foutu plein la tête, mais d'un côté il avait eu raison, je le savais au fond de moi.

Notre coté buté faisait qu'aucun de nous lâcherait le morceau. On avait surement tort mais elle ne pouvait réellement savoir ce que je ressentais au fond de moi. Ce sentiment de vide. Un vide atroce et inépuisable. J'avais été franc, rude, emplit de colère et d'autres sentiments mélangé à la terreur, la haine et l'impuissance. Comment lui expliquer en quelques phrases à quoi on ressemblé ses 6 dernières années. ça n'était pas que des évènements, c'était 6 ans de souffrances et de culpabilité qui me rongeait !

Elle s'excusa. Comment devais je le prendre aujourd'hui. Il n'était pas mon père, mais juste une figure paternelle. Elle me dit alors que je suis presque sa famille, que j'ai toujours été là pour elle et pour les autres à les écouter. Je n'étais pas vraiment de son avis. Je m'enfermais dans ma bulle pour ne rien ressentir mais elle me rétorqua que je suis généreux et incroyable.

"- Tu dois bien être la seule à le voir..." soufflais je dans un soupir. " Tant que j'étais loin de Seattle, je m'en sortais mais là... ça devient insupportable. Entre la sensation que Tim est autour de nous à nous épier et mon père qui m'a manipulé depuis toujours... ça me rend dingue..."

Je doutais qu'elle comprenne tout ça, mais je crois qu'il fallait que ça sorte. Je fus alors surprit qu'elle se rapproche de moi, venant s'asseoir au bord de mon lit, prenant ma main dans la sienne. Rivant mon regard au sien, ses larmes dévalaient sur son visage tandis qu'elle me disait qu'elle ne partira pas... avant de me demander où elle devrait aller.

"- C'est pas ce que tu m'as dit il y a cinq minutes, Heaven..." soufflais je dans un murmure. " Je comprends bien que tu m'en voulais d'avoir sauté et réagis comme ça... mais l'Evan que tu as connu est mort il y a 5 ans en découvrant la vérité sur son un faux acte de naissance..."
Je levais alors une main à son visage, balayant ses larmes de mon pouce.

"- J'avais rien de particulier contre toi... c'est contre moi en réalité..."

Dans le passé il s renfermait quand essayait de creuser, mais de l'autre il restait présent pour nous, c'était pas un de ses sales égoïstes qui s'enfermaient et qui n'aidaient personne, des sortes de dépressifs... J'avais mentionné qu'il était égoïste mais je n'avais guère penser mes mots. Je ne l'avais pas connu ses six dernières années, et il avait du changé comme tout le monde l'avait fait.... Pourquoi je n'entêtais a dire qu'il ne l'avait pas été?! C'était surtout moi la coupable dans notre dispute.

"Je comprends que ce soit insupportable, tout le monde a eût du mal a prendre ses marques de nouveau ici, mais tu verras avec le temps sa va se produire pour toi aussi a ira mieux, tu comprendras sans doute enfin qui tu es... si tu veux je pourrais t'aider si tu veux rechercher ta vrai famille..."

Jamais j'aurais cru prononcer ses mots, moi qui avait connus les parents, enfin faux parents de Evan, sa m'avait donné un coup de poignard en plein coeur pour lui... Ils étaient si gentils enfin quand la petite bande allait chez Evan ce qui était rare. Oui e ce n'était pas ce que 'j'avais dit il y a cinq minutes, le fait de partir...

"Je vais pas te laisser tout seul quand même... Je veux pas que tu te balances par al fenêtre, je vais pas le supporter.. Déjà que du pont j'ai tout men estomac qui c'est retourné, ne me fait plus peur comme ça...."

Je sentit sa main sur mon visage, pour enlever mes larmes, puis je fis un petit sourire

"Laisse moi apprendre a connaitre le nouveau Evan, je l'aimerais peut-être plus que l'autre..."

Pourquoi n'aurais-je pas le droit de le connaître? Tout le monde avait le droit aune seconde chance après tout...

"Tu veux toujours être le parrain dis?"

Il était rare que la bande vienne à la maison et pour cause ! Avec une mère qui ne supportait pas la présence d'enfants et de jeunes, et un père un peu trop agréable et gentil. Enfin ça c'était avant que je découvre le pot aux roses.

En cinq ans, j'avais eu le temps de faire des examens pour trouver une personne avec un lien de parenté avec moi. Mais les tests sanguins et ADN étaient revenus négatifs.

"- Tout est répertorié dans une sorte de banque centralisés et ils n'ont trouvé aucune correspondance... toutefois, si ma famille n'a pas effectué de test ADN, il est logique qu'il n'y aucune trace de lien de parenté..."

J'étais sans famille et ça je ne m'y habituais toujours pas. Les seuls personnes que j'avais rencontrés, tels que Dana ou ceux de la bande avaient eu une place importante pour moi. Ces 6 ans ont brisés ce lien. Mais est il reconstructible ?

"- Je tenais pas à te blesser... c'est juste que... j'ai personne d'autre."

J'étais seul et j'avais encore beaucoup de chemin à parcourir avant de pouvoir reprendre confiance en moi. Je souris alors doucement à sa remarque et levant les yeux vers elle.

"- Alors dis moi qui va faire les frais de nos plans machiavélique. Parce qu'il me faudra un cobaye pour me défouler..."

Etre parrain était une première pour moi. C'était faire partie de la famille ne quelque sorte et dans un sens c'était, je pense, ce qu'il me fallait. Toutefois, elle pouvait se mettre le doigt dans l'oeil si elle croyait que je lui faciliterais la tâche avec ce petit !

"- Crois moi, il sera un petit morveux comme tu étais à son âge !" répliquais avant qu'elle ne m'avoue son angoisse ainsi que celle d'Adam.

"- L'inverse serait inquiétant... on dit souvent que l'angoisse est un bon stimulant. Tu sais t'y prendre avec les enfants, je ne sais pas de pourquoi tu t'inquiètes autant... Fies toi à ton instinct..."

Je n'avais aucune piste et le problème était là. Par où commencer ? J'avais garder la maison où j'avais grandit. J'aurais pu la vendre et essayer d'en tirer un bon prix mais dans cette maison, je n'y avais pas que de mauvais souvenir. J'entendis alors Heaven me dire que j'avais encore une chance de retrouver ma famille et qu'il y avait peut être une trace dans les papiers que mes parents ne voulaient pas que je trouve.

"- J'en sais rien... Faudrait aller voir. J'y ais pas remit les pieds depuis l'enterrement..." avouais je mal à l'aise.

Je n'étais peut être pas confiant mais avec tout ce qui s'était passé ses dernières années, j'avais de bonnes raisons non ? Elle me souffla alors que parfois on dit des choses qu'on ne pense pas.

"- Mais ça ne veut pas dire que certains d'entre nous sont près à faire l'effort de passer au delà des mots prononcés... Regarde Aileen. J'ai l'impression de la déranger à chaque fois que je lui dis Bonjour..."

Un cobaye, on en avait réellement besoin mais à l'entente du nom de Yael, je secouais la tête tandis qu'elle semblait ne pas comprendre.

"- Mauvaise idée. Laisse Yaël tranquille. Je crois qu'elle a assez à endurer avec Jenny... par contre Kacey...ou Adam..." finis je avec un malicieux sourire.

Qu'elle me choisisse pour être le parrain de son bébé pouvait étonner. Elle aurait pu largement choisir un de ses frères. Toutefois, on avait toujours été très proche et même si on passait notre temps à se chamailler, j'avais toujours veillé sur elle à ma façon. Me frappant sur le torse, je lui répliquais vite.

"- Je vais faire un autre arrêt si tu continue de me frapper !" lâchais je avec un léger rire. "Je l'ai peut être pas vu à l'époque, mais j'ai vu ce que ça a donné plus tard, Blondie..."

Elle avait une sainte horreur que je l'appelle ainsi mais en même temps, ça n'était pas un surnom dégradant. A mes yeux c'était affectueux, même si elle ne le voyait pas ainsi.

Elle me confia alors que les enfants de la crèche c'est différent de l'enfant qu'elle allait mettre au monde.

"- ça n'est pas les tiens, je te l'accorde... mais tu sauras prendre soin de ce bébé et lui donner de l'amour. Je suis certains qu'une fois que ton ventre... prendra de l'ampleur, ta confiance en toi reviendra. Et puis, vous avez neuf mois pour vous y préparer..."

Je le comprenais tout a fait, retourner vivre dans une demeure après l'enterrement du propriétaire était dur... je me rappelle encore des crises que j'avais fait quand j'avais quatre ans, disant que je ne voulait plus retourner dans la maison sans ma mère... Et Lukas qui m'avait porté pour que je rentre, le pauvre il c'était même pris un oeil au beurre noir car je l'avais frapper... sans faire exprès bien entendu.

"Si tu veux, je viendrais avec toi si c'est trop dur."

C'est vrai que Aileen était vraiment distante, a croire que elle ne voulait même pas nous adresser le moindre mot, même nous voir trente seconde, falalit le dire si on gênait a ce point

"Tu n'es pas le seul a qui Aileen dit a peine bonjour, moi l'autre matin, quand je l'ai vu c'était a peine si elle voulait me parler, j'ai vraiment l'impression qu'on l'ennui a être avec elle dans cette demeure."

C'était sur que Yaël devait en baver avec la petite jenny, mais j'hocha négativement la tête quand il sortit le prénom de Adam, avec un sourire aux lèvres

"Avec lui j'ai fait un pacte, on c'est ligué contre toi dommage..."

Je l'avais juste frapper un seule petite fois, et i e déclara qu'il allait faire une autre crise cardiaque? je fronçais les sourcils, lu lançant un regard qui disait "c'était pas drôle..." J'étais pas si terrible il ne faut pas exagérer non plus!

"Tu cherchais alors je me vengeais!"

Par la suite, la discussion sur l'enfant revint, je ne put n'empêcher de grimacer légèrement une nouvelle fois.

"Je ne sais pas, et si je fais une bêtise hein?!"

Retourner dans cette maison , fouler les marches abimées du perron, une image s'imposait déjà à moi. Je me rappelais très bien de la dernière fois où j'y étais aller pour remplir les formalités concernant la mort de mon père. Une sensation étrange m'avait prit à la gorge. Comme si l'autorité qu'il avait eu sur moi durant toute ma vie venait de s'envoler. J'avais alors fouillé chaque tiroir et placard de cette maison qui avait été la mienne durant des années. Je tombai alors sur ces fameux papiers me concernant, cet acte de naissance où apparaissant un nom trop courant dans le pays. à combien pouvait s'estimer mes chances de retrouver cette famille ? Je levais alors les yeux vers Heaven alors qu'elle se proposait de m'accompagner.

"- Dans certains papiers j'ai mon nom n'est pas Stanford... mais Carter. Le reste du document est illisible et les scientifiques ne sont parvenus à rien... comme si l'acte avait été volontairement abimé pour que je ne retrouve pas d'où je viens, qui je suis... alors je ne sais pas si retourner là bas, m'apporteras des réponses à mes questions..." lui soufflais je finalement.

Ailleen devait être distante par choix. Cependant, je ne comprenais pourquoi elle le faisait. ça n'est pas comme si durant toutes ses années on avait été froid. Seul le temps et nos occupations nous avaient éloignées. Lui était elle arrivé un évènement particulier pour qu'elle se barricade contre tous ou bien se sentait elle ici par obligation.

J'ai l'impression que notre Aileen n'existe plus... comme si sa vie se réduisait à vivre enfermé dans un bureau avec des dossiers... j'aime pas ça..." avouais je, mon regard se perdant sur le mur blanc en face de moi.

Le choix de notre cobaye ne pouvait pas être Yaël. Enfin pour moi, pas que j'ai peur d'elle. Non, il s'agissait plutôt du détail qu'elle était la soeur de Tim, et la tutrice de Jenny. Je proposais alors Adam et je ne fus pas surpris de la réaction d'Heaven. Elle m'apprend alors qu'ils se sont ligués contre moi. J'haussais alors un sourcil.

"- T'oserais t'en prendre au parrain de ton bébé ? Bah c'est du beau Blondie ! T'as oublié qu'il est un brin fragile en ce moment ?"

Elle me cherchait et en même temps, je savais que mes mots auraient leurs effets escomptés. Cette dispute, je ne savais pas si un jour on pourrait passer au dessus où l'effacer de notre mémoire. Cependant, je refusais de croire que notre amitié pouvait prendre un tournant à cause de cette dispute. Je me contentais de lui adresser un timide sourire puis la discussion dériva sur l'enfant à naitre dans neuf mois. Elle était terrifié à l'idée de devenir mère et d'être de nouveau en couple avec Adam. Peur de reproduire certaines erreurs ?

"- Je pars du principe que tout est pardonnable, tant que le mensonge est inexistant... vous serez deux à élever cet enfant et t'auras une batterie de nounou pour t'aider. Tu dois avoir confiance en ton instinct maternel... c'est un guide qui ne trompe pas..." soufflais je, songeant à une élève de Mill Creek terrorisé qui était venue me voir, me révélant sa grossesse alors qu'elle n'avait que 16 ans. "Quoi qu'il se passe, tu sera soutenue Heaven."

Il était plus que difficile d'expliquer ce que je ressentais à une personne même si on avait plus ou moins grandit ensemble. Au lycée, on s'était toujours fait une image de ma vie. Que je devais avoir de la chance de vivre dans une grande maison et de ne pas avoir de frères ou de soeur à garder et à supporter. Mais en vérité, je crois que ça m'aurait permit de parler de mon mal être à quelqu'un, plutôt que de me retrancher dans ma solitude. Mon père avait été une sorte de héros pour moi. Il était parfait en tout... enfin sauf pour me dire la vérité. Sur ce point, il avait lamentablement échoué et je n'étais pas prêt à pardonner quoi que ce soit. Je révélai alors à Heaven que mon nom était Carter, comme celui d'Aileen soit dit en passant. Carter est un des noms les plus courant des Etats Unis et je me voyais mal avoir un lien de parenté avec Aileen, après tout quels points communs avaient on tous les deux ?


"- Non, tu ne comprends pas Heaven... Les scientifiques ont tout essayé. Des sprays révélateurs, aux néons ultra puissant... C'était volontaire, et mon père savait très précisément ce qu'il faisait..." tentais je de lui faire comprendre, mais elle me répliqua avec insistance que retourner à la maison pouvait m'apporter d'autres réponses. Accepter sa requête ne risquait il pas de me rendre encore plus malade ? Après tout les risques étaient possible ! "D'accord..." finis je par céder. "Mais quand je jugerais nécessaire de partir, tu n'objectera pas et tu respectera ma volonté. on est bien d'accord ?"

Entrer seul dans cette maison allait me rendre malade. Rien que d'y penser me terrifiait. Des images m'envahissaient et pas des images de mes moments les plus heureux. Mon père m'avait aimé, j'en étais conscient mais depuis que la vérité m'avait explosé à la figure, ces souvenirs se faisaient de plus en plus amers et désagréables.

La discussion dévia sur Aileen. Sa présence glaçait parfois la pièce, tout autant qu'une tension insoutenable pouvait nous stresser subitement. Lui était il arrivé quelque chose, un évènement dramatique, une rupture difficile pour que soudain on soit de réels inconnus les uns pour les autres ?

"- de cire, t'es gentille... on dirait un bloc de glace planté dans un iceberg..."

Heaven serait toujours Heaven. En somme, je resterais son plat préféré de vengeance. Moi qui pensait qu'avec le temps, elle se lasserait... M'enfin si y'a que ça pour lui faire plaisir.

"- Pourquoi je morflerais ? Durant ses 6 dernières années, je ne suis pas resté tout seul dans mon coin..." soufflais je, en levant les yeux vers elle. "Okay, pour ma vie sentimentale c'était compliqué... mais j'aidais tous les élèves de Mill Creek qui venait me demander secours..."

Pouvais je lui dire qu'une élève avait accouché dans le gymnase avec le père, un de mes joueurs, était complètement paniqué. Je souris doucement en me rappelant cet évènement. Les parents avaient même choisit mon prénom pour le nom de leur petit garçon. Je préférais garder ça pour moi. Avec Heaven, elle pouvait interpréter ça avec romantisme ou je sais pas. Mieux valait garder ce genre de détails secret.

Je faisais souvent l'idiot, c'était ma façon de montrer que j'étais attaché à personne même si la vérité était que j'étais touché. J'ai toujours pensé qu'Heaven et Dana étaient parvenu à voir clair dans mon jeu. Toutefois aucune n'y avait un jour fait allusion. Sa confession était sortie toute seule. Elle était encore troublé et ne semblait pas savoir comment surmonté ça. Elle semblait d'autant plus bouleversée qu'elle s'attendait à avoir certaines personne près d'elle mais pas celles qu'elle imaginait. Resserrant ma main sur la sienne, mon autre main effleura sa joue lui adressant un timide sourire.

"- Parfois il faut du temps Heaven... les bonnes surprises ne se préméditent pas... elles arrivent, tout simplement." murmurais je, tout bas. "Je n'accepterais pas que n'importe qui s'occupe de mon ou de ma filleule !" Répliquais je, lui tirant un léger sourire.